Sept minutes. C’est le temps qu’il aura fallu au docteur Scot Youngblood pour démontrer l’irrationalité du « tout vaccinal » actuel, lors d’une intervention qui s’est tenue au début du mois, devant les conseillers du comté de San Diego, aux États-Unis. Pour ce faire, le médecin ne s’est pas appuyé sur d’obscures études complotistes, mais sur l’évaluation que… le groupe Pfizer a lui-même réalisé de son vaccin.
« La meilleure façon d’examiner tout problème médical est avec un essai contrôlé randomisé. […] C’est ce que Pfizer a fait pour évaluer son vaccin, pour obtenir une EUA (autorisation d’utilisation d’urgence, ndlr). Il y avait 44 000 patients, deux grands groupes essentiellement égaux à tous égards, sauf qu’un groupe reçoit le vaccin et l’autre groupe reçoit le placebo », détaille Scot Youngblood.
Première constatation : les patients du groupe placebo ont effectivement été sujets à des formes grave de Covid-19, auxquelles la cohorte de vaccinés n’a que très peu fait face. « Mais ce qui n’a pas été évoqué, c’est l’augmentation des événements indésirables pour le vaccin. […] Les événements indésirables graves [sont] deux fois plus élevés. » On parle ici de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de myopéricardites, de syndromes de Guillain-Barré, etc.
De plus, l’étude révèle qu’au bout de six mois, on a observé pratiquement le même nombre de décès dans les deux groupes : 15 chez les vaccinés et 14 dans le groupe placebo. « Et cela soulève une grande question : si le vaccin est si efficace pour prévenir les cas de Covid-19 sévères, alors pourquoi n’a-t-il pas sauvé des vies au plus fort de la pandémie contre le variant Alpha ? La réponse la plus probable est que les effets secondaires de ce vaccin ont annulé tous les avantages qu’il procurait contre le Covid-19. »