Le régime en question pour réduire la dette du « quoi qu’il en coûte » décliné pour les entreprises notamment.
Mais quelles solutions préconise Gérard Larcher ? Ne voulant pas d’augmentation d’impôts, « seule une maîtrise rigoureuse de nos dépenses publiques » est envisageable, à ses yeux.
« Une politique ambitieuse de réformes structurelles nous permettra, une fois la pandémie passée, d’assurer la soutenabilité de notre dette et de réduire progressivement notre taux d’endettement », imagine Gérard Larcher, qui assure que cet « objectif n’est pas en contradiction avec le maintien de notre modèle social ».
Il pense bien sûr à la réforme « indispensable » des retraites, « la réforme de l’assurance chômage, restée au milieu du gué » ou encore à « la réforme de notre système de santé ».
Source : public sénat